En abordant plusieurs sujets, elle a notamment partagé des détails sur sa participation au tant attendu Bye Bye 2024, révélant des aspects intéressants et rarement discutés.
Lorsque Guy A. Lepage a ouvert le débat sur la sensibilité de certaines blagues dans le cadre du Bye Bye, il a demandé à Sarah-Jeanne si elle avait déjà hésité à lancer une pique ciblée.
Avec franchise, l'actrice a admis que cela lui était arrivé à plusieurs reprises.
Elle a détaillé sa démarche prudente, soulignant l'importance de s'informer et de poser des questions pour évaluer l'impact potentiel d'une blague.
« Il est essentiel que l'humour reste respectueux, même quand il pique un peu », a-t-elle expliqué, tel que rapporté par Monde de Stars.
Un exemple marquant de cette approche a été sa parodie de Marilou.
Sarah-Jeanne a précisé que l'humoriste et entrepreneure, connue pour son sens aigu de l'autodérision, avait accueilli cette satire avec bienveillance.
Pour l'actrice, cette complicité rend les sketches plus amusants et légers pour toutes les parties impliquées et assure que l'esprit de l'humour reste positif.
La conversation a pris un tournant plus pragmatique lorsque Jean-Sébastien Girard a évoqué l'aspect financier du projet, demandant sans détour si une participation au Bye Bye pouvait être assez rentable pour permettre de prendre une année sabbatique.
Sarah-Jeanne a répondu honnêtement en affirmant que, bien que le Bye Bye soit un projet emblématique et prestigieux, il ne représente pas un contrat particulièrement lucratif.
« C'est avant tout par passion et pour le plaisir de faire partie de cet événement incontournable, » a-t-elle souligné.
Malgré la visibilité et l'importance de cet événement annuel, elle a précisé que ce type de projet ne permet pas de se reposer financièrement pendant une longue période.