« Une quotidienne, il y a une espèce de recette : c'est trois jours en studio, deux jours à l'extérieur. Ça va bien quand c'est des crimes qui sont commis dans les domiciles ou un accident dans la rue ou dans un stationnement. Mais moi, je n'avais pas de repères de motards. On n'avait pas cet argent-là. On n'a pas d'argent pour mettre 23 figurants tatoués avec des vestes dans un local, on n'a pas ça! »
« Donc, j'avais un personnage qui partait du poste de police, qui allait dans un restaurant et qui disait : "si tu fais ça, on va t'arrêter" et l'autre disait : "je suis à veille de me tanner". Tu sais, à un moment donné, ça fait deux ans que tu écris ça... J'étais au bout du personnage. Je crois que Sébastien a bien compris ça. »
Toutefois, ce n'est pas lui qui a annoncé la nouvelle au comédien Sébastien Delorme.
« C'est la production qui a appelé son agent. [...] On rit toujours, mais quand les comédiens disent : "Luc, on voit ton nom sur l'afficheur et le coeur nous arrête", c'est plate. »