Toutefois, certains pouvoirs risquent d'être conservés comme le port du masque obligatoire dans les transports en commun et le versement de primes aux employés de la santé.
En rappel, deux jours après que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) eut annoncé que la pandémie était désormais étendue au niveau mondial, le gouvernement du Québec avait déclenché l'état d'urgence.
Un état d'urgence qui donnait la permission au gouvernement de signer des contrats sans appel d'offre. Également, il pouvait décréter les conditions de travail de ses fonctionnaires.
Source : MonFric