Si c'est bien le cas, le prix de l'essence pourrait grimper jusqu'à 3 $ le litre. En ce moment, le prix d'un baril est évalué à 120 $.
Toujours d'après Goldman Sachs, ce n'est pas en raison de la guerre en Ukraine que le pétrole pourrait coûter aussi cher.
La situation s'explique plutôt par la forte demande d'essence durant les vacances d'été dans un contexte où il y a une pénurie de raffinage sans précédent. Ce qui mine la capacité de transformer du pétrole en essence et en diesel.
La firme indique qu'il n'y a pas grand-chose à faire pour éviter une telle situation.
Source : MonFric