Une enquête est actuellement en cours et une cellule de crise nationale a été déployée.
Selon une source de la santé publique, les autorités ont demandé de rester discrets sur cette affaire. De ce fait, plusieurs employés de l'hôpital ne seraient pas au courant de cette éclosion.
Cas
Le 8 septembre dernier, la présence de ce champignon mortel a été suspectée sous les aisselles d'un patient de 65 ans atteint d'une pneumonie. Le 15 septembre, des tests en laboratoire ont confirmé qu'il s'agissait bien du Candida auris.
Un deuxième cas a été confirmé le 19 septembre dernier chez un patient aux soins intensifs qui est décédé d'une autre cause.
Le lendemain, une déclaration officielle d'éclosion a été faite et les employés concernés ont été contactés.
Selon Radio-Canada, voici les risques de la maladie :
Inquiétudes
Le fait que les deux patients infectés n'ont pas voyagé à l'étranger sème l'inquiétude.
De plus, trois autres personnes, qui ont eu des contacts étroits avec les patients infectés, sont sous investigation.
Radio-Canada confirme que « des dizaines de patients auraient été dépistés, sur plusieurs unités, car ils auraient eu un contact direct ou indirect avec les cas positifs. »
Comme le champignon mortel est difficile à détecter, en plus de résister aux antifongiques, la situation inquiète les autorités.
La porte-parole du CISSS de la Montérégie-Est, Caroline Doucet, a déclaré :
Source : Radio-Canada
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