L'homme, qui aime s'afficher comme un « mâle Alpha », se retrouve aujourd'hui sous les projecteurs pour des raisons bien moins glorieuses que celles qu'il aurait souhaitées.
Plus tôt cette semaine, il a été révélé que Bournival doit plus d'un million de dollars au gouvernement québécois, un chiffre astronomique qui fait beaucoup jaser.
Pour expliquer cette situation, Julien Bournival a pris les devants en publiant une vidéo sur ses réseaux sociaux, où il tente de justifier ses lourdes dettes.
Julien Bournival se défend en pointant du doigt un ancien employé qui, selon lui, serait à l'origine de ses problèmes financiers.
Il va jusqu'à dire que ses dettes, qu'il attribue en partie à une maison, ne seraient pas « si graves ».
Une explication qui a rapidement suscité des réactions et pas des moindres.
En effet, l'entrepreneur bien connu François Lambert n'a pas tardé à intervenir pour remettre les pendules à l'heure.
Dans un message percutant publié sur ses propres réseaux sociaux, Lambert critique ouvertement les excuses de Bournival, les qualifiant de légères et déplacées :
« Notre mâle alpha par excellence justifie sa faillite en blâmant un ancien employé qui l'aurait mis dans le trouble, il dit que sa faillite c'est juste une maison (donc pas grave) », commence-t-il avec une pointe d'ironie.
Lambert poursuit, déplorant la façon dont Bournival traite la situation financière :
François Lambert ne mâche pas ses mots et remet en cause l'attitude de Bournival face à la faillite, expliquant que celle-ci ne devrait jamais être prise à la légère.
Il poursuit en soulignant que les créanciers laissés impayés pâtissent de ce type de comportement irresponsable :
« Dans ce cas précis, on parle d'un train de vie qui ne concorde pas avec ses revenus », ajoute-t-il avec fermeté.
Lambert n'hésite pas à remettre en question le style de vie que Julien Bournival s'efforce de projeter, se demandant comment il peut continuer à « se pavaner en Floride », alors qu'il est lourdement endetté envers ses créanciers québécois.
Dans un commentaire qui résonne comme un verdict sans appel, Lambert conclut en catégorisant Bournival non pas comme un « entrepreneur ayant eu une erreur de parcours », mais bien comme un « crosseur » aux frais de la société :