La chroniqueuse du Journal de Montréal, Sophie Durocher, n'a pas mâché ses mots envers James William Awad.
Dans une récente chronique, elle a affirmé trouvée « hallucinant » qu'Awad menace des journalistes d'explusion s'ils posaient une deuxième question.
« Avez-vous trouvé hallucinant que son employée menace d'expulser du bâtiment tout journaliste qui posait une deuxième question? Avez-vous trouvé complètement surréaliste cette "conférence de presse"?
« Vous n'avez rien vu. Si vous regardez les vidéoclips musicaux de Awad (qui utilise le nom d'artiste Senior), vous allez capoter. C'est ri.di.cu.le. »
Par souci professionnel, Durocher a regardé quelques vidéos de l'homme de 28 ans qui tente percer dans le monde de la musique.
« Par devoir professionnel, je me suis tapé un visionnement intensif des clips de James William Awad. Hé la la, comme on dit en chinois : « Don't quit your day job », je ne pense pas que sa carrière de chanteur soit prête à... décoller. »
« Sur toutes ses chansons, Awad chante avec autotune, ce logiciel qui corrige la voix de ceux qui chantent faux. Et ce n'est même pas subtil. »
« Les vidéos sont d'un quétaine tellement ridicule qu'on ne sait même plus si c'est du deuxième degré. »
À propos des paroles, la chroniqueuse mentionne :
« Mais de quoi nous parle Awad dans ses chansons?, me demandez-vous? Les paroles sont d'une insignifiance rare ou carrément énigmatiques. »
« Mettons que Luc Plamondon peut dormir sur ses deux oreilles, il n'a pas de compétition comme auteur de chansons. »
Pour lire sa chronique complète, intitulée « Awad est aussi un chanteur bling bling », c'est -> ICI <-.
Voici quelques clips de « Senior » :
Source : Monde de Stars