Le journal Le Monde rapporte que Facebook s'est attiré de vives critiques après avoir transmis à la justice, le contenu d'une conversation privée entre une mère et sa fille de 17 ans.
Dossier d'avortement illégal
Habitant dans l'État du Nebraska, où il est permis d'avorter jusqu'à vingt semaines après la conception, l'adolescente est accusée d'avoir avorté durant sa vingt-huitième semaine de grossesse.
Du côté de sa mère, cette dernière est accusée de complicité étant donné qu'elle a commandé des pilules contraceptives.
De plus, les deux femmes font face à des accusations d'avoir enterré illégalement le foetus et d'avoir menti aux enquêteurs.
Facebook s'explique
Le porte-parole de Facebook, Andy Stone, a expliqué que le réseau social n'était pas au courant de certains détails de l'enquête :
Au même titre que toutes les entreprises américaines, Facebook est tenu de répondre aux réquisitions judiciaires des autorités américaines.
Source : Grands titres