Dans la publication en question, Diesel faisait référence à ses enfants, ainsi qu'à l'héritage du défunt comédien Paul Walker, implorant The Rock d'« accomplir son destin ».
« Mon petit frère Dwayne... le moment est venu. Le monde attend la finale de Fast 10. Comme tu le sais, mes enfants t'appellent Oncle Dwayne. Il n'y a pas de vacances qui passent sans que vous vous envoyiez vos meilleurs voeux... mais le moment est venu. L'héritage t'attend. Je t'ai dit il y a des années que j'allais tenir ma promesse envers Pablo (Paul). J'ai juré que nous atteindrions et manifesterions le meilleur Fast! Je dis ça par amour... mais tu dois te montrer, ne laisse pas la franchise inactive, tu as un rôle très important à jouer. Hobbs ne peut être joué par aucun autre. J'espère que tu seras à la hauteur et accompliras ton destin. »
Cependant, il semblerait que Johnson avait déjà pris sa décision et qu'il a été surpris par le message de Diesel.
« En juin dernier, lorsque Vin et moi nous nous sommes parlés, je lui ai dit directement que je ne reviendrais pas dans la franchise », a récemment déclaré The Rock dans une entrevue avec CNN.
« J'ai été clair mais cordial dans mes paroles et j'ai dit que je soutiendrai toujours les acteurs et la série de films, mais qu'il n'y avait aucune chance que je revienne. »
Johnson a déclaré à CNN qu'il avait discuté en privé avec ses partenaires d'Universal Pictures de sa décision et qu'ils le supportaient et comprenaient le problème. Il a donc été déçu de voir le message de Diesel sur les réseaux sociaux.
« Le message de Vin était un exemple de sa manipulation », a poursuivi Johnson. « Je n'ai pas aimé qu'il mentionne ses enfants, ni la mort de Paul Walker. Laissez-les en dehors de ça. Nous en avions parlé il y a des mois et nous nous étions clairement entendus. »
« Mon objectif depuis le début était de terminer mon incroyable voyage avec la franchise avec gratitude et grâce. Il est regrettable que cette publication ait tout gâché. »
Vin Diesel n'a toujours pas commenté les propos de Dwayne Johnson.
Source : LA Times